De quoi j’LR

Le W n’est rien            

Mais non, Monsieur Perec, on ne parle pas de vous, même sil est un peu question de disparition. (La rédaction)


Les veaux quiets.
 
Ami, copain, qui cherche l’or en Wauquiez,
Tu chercheras longtemps et te feras chier.
 
Les doctes alchimistes y perdent leur aplomb,
Du moineau la cervelle conservent tout le plomb.
Mais foin de chaudes pistes, le W n’est rien,
Et loin des analyses, le un de rien, c’est rien.
Sur le A, tout miser pour que le monde bouge ?
La parka, du gilet, à jaune préfère rouge.
Le U, relu, berlue, s’est porté au secours…
Lolo ne s'rap’lait plus, ni du lieu ni du jour.
Le Q, la belle affaire, joue à papa – maman :
Bellamy, en leader, ça n’est pas Maupassant.
Le U, toujours absent, se répète à l’envi…
Après Q, ascescent, il n’existe qu’UI.
Et le I, il ne vit pas entre U et un E.
Il se sent en sursis, sans aide, migraineux.
Le Z, en fin de nom, n’est là que pour décor,
Il n’est là qu’en appui : le Q, mitan, pérore !
 
Une lettre à paraphe en conclusion d’un nom
Et une tête à baffes en quête de renom.

© Opera de Seattle

 » Je quitte l’orchestre pour une carrière solo

Wauquiez qui termine comme Zemmour commence

Gilles Personne de Roberval (1602-1675) eu l’idée de placer le fléau sous les plateaux pour réaliser la pesée. Fléau au juste-milieu de l’axe supportant les plateaux. Chez Wauquiez, c’est un fait, c’est le Q qui est fléau. Comment voulez-vous penser la mesure, quand vous voyez le fléau monter sur les plateaux pour y décréter l’équilibre ?

Le « Care » n’est pas capital chez le maréchal Sissi, imperator.

Aimé Shaman