Notules à taire (à suivre)

Notules à taire (à suivre)

Pour une économie politique corrézienne

Tant qu’une idéologie néolibérale refusera d’admettre que la planète est un monde fini, qu’elle n’envisagera qu’une croissance quantitative et ne prendra pas en compte la « baisse tendancielle du taux de profit », nous aurons besoin de boucs émissaires.
Tant que les solutions aux problèmes rencontrés ne prendront pas en compte les limitations en ressources imposées par notre monde fini, nous aurons besoin de boucs émissaires.
Tant que les politiques se contenteront de psalmodier des incantations pour la relance de la croissance, nous aurons besoin de boucs émissaires.
(nous arrêterons là l’anaphore pour ne pas rappeler de mauvais souvenirs à certaines et certains)

Il est désormais admis que la force du capitalisme n’est plus le travail physique, mais la cognition ; ce qui provoque, sinon la destruction du capitalisme, mais au moins son dépassement dans le néolibéralisme économique (lui-même détruit par les libertariens ?).