Lu sur Facebook

Lu sur Facebook

Un facebooker (osons tout !) signale la disparition d’une jeune fille. Invitation à faire circuler l’information et à prévenir la famille ou la police – Côté remèdes du pharmakon!

Des lecteurs de l’information ont cliqué et nous informent : « j’aime ».
Ici commence la descente sur le côté poison du sacré pharmakon. Empoisonnant!
Qu’aiment-ils ? Qu’on utilise le côté remède de Facebook ? Que la jeune fille ait disparu ?
Suit un autre message de lecteur: « elle a été retrouver » (sic).
Si elle a été « retrouver », il manque une info : retrouver qui ? Au cas où elle aurait été retrouvée, elle permet de nous réjouir car nous nous mettons à la place des parents et, dans le même temps, de mettre en évidence les limites orthographiques du scripteur.

Une majorité sera d’accord avec le fait que mettre des kalashnikovs entre les mains de celles et ceux qui n’ont pas pris de cours de tir est une pratique à déconseiller vivement.

Réseaux sociaux et sociabilité… quadrature de l’oxymore! Être intime avec un grand nombre de personnes tout en n’étant populaire qu’auprès de peu de gens.Aimé Shaman